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Résumé de la discussion
- Papy04
- 01-03-2017 16:07:14
J'aime bien ce titre de rubrique, trouvé dans le "Journal du net":
Adopter une stratégie de supply chain bimodale pour fournir une expérience client sans couture.
Oui, bien sûr
- papiauche
- 07-01-2016 23:28:06
Non, car les blancs ont pris au moins quatre pièces pour aligner leurs pions avec les noirs. (ou les noirs, peu importe )
D'ailleurs, vu qu'ils n'ont mangé que des pions, je ne pense même pas qu'on puisse arriver à une telle situation si les pions noirs et blancs sont sur les mêmes colonnes, même sans rajouter un pion .
- shadock
- 24-11-2015 19:50:41
Dommage qu'il n'y ait pas de bouton j'aime sur ce site
- Lui-meme
- 24-11-2015 18:37:00
Comme me l'a suggéré gwen au cours de son ultra-brillante énigme Grille 7, qui vient de s'achever, je vous propose cet admirable exemple de ce qu'est la relation de consécutivité.
Migraineux, s'abstenir !
Etude de la préposition dans, dans la construction d'un syntagme prépositionnel (SP) détaché qui fonctionne à la manière d'un prédicat non-fini par rapport à la phrase à laquelle il se rattache ("phrase d'accueil"), ex. Dans sa hâte, il ouvrit impétueusement la porte sans frapper. Comparable en cela à d'autres prépositions comme à, sur sous, devant ou face à, la préposition dans contribue à l'expression d'une relation logico-temporelle de consécutivité faible qui s'établit entre un état s exprimé sous forme nominale dans le SP détaché et l'événement e représenté par la phrase d'accueil. Dans prend alors un sens proche de étant donné, du fait de, etc. Cet effet de relation consécutive faible est possible grâce à la conjonction d'un certain nombre de facteurs parmi lesquels : 1) la nature sémantique du nom à l'intérieur du SP, 2) des traits syntactico-sémantiques de la construction du SP lui-même, 3) des conditions aspectuelles sur le verbe et d'autres constituants dans la phrase d'accueil garantissant la valeur consécutive qui s'attache à l'événement qui y est exprimé.
- fvallee27
- 22-09-2015 22:27:14
... tapinose dont le paronyme qualifie une femme dite "de mauvaise vie".
- shadock
- 22-09-2015 22:19:16
L'auxèse (substantif féminin), du grec auxêsis ("jactance") est une figure de style consistant en une gradation d'hyperboles dont l'intensité sémantique ou émotive mène au paroxysme parfois jusqu'à la négation. Elle est proche de la gradation, de l'hyperbole et de l'anticlimax lorsqu'il y a contradiction dans les termes. Son antonyme est la tapinose.
- shadock
- 05-09-2015 12:40:44
scrablor a écrit:Démonstration boiteuse : comment peut-on démontrer le théorème de Feit-Thompson tant qu'on pense que 60 pourrait être impair ?
J'ai oublié la référence excuse moi: awfully sophisticated proof for simple facts. Je ne pense pas que les mecs de mathoverflow soient passé à côté d'un truc bancal, enfin tu peux toujours leur poser la question
- scrablor
- 05-09-2015 12:05:13
shadock a écrit:Théorème: 60 est un nombre pair.
Preuve: 5!/2 est l'ordre du groupe A5. Il est connu que A5 est un groupe simple non-abélien. Donc A5 n'est pas résoluble. Mais le théorème de Feit-Thompson dit que tous les groupes fini de cardinal impair sont résolubles, donc 5!/2 doit être un nombre pair. Ce qui achève la démonstration.
Démonstration boiteuse : comment peut-on démontrer le théorème de Feit-Thompson tant qu'on pense que 60 pourrait être impair ?
- fix33
- 05-09-2015 11:03:20
Pour moi, Yann Moix est plus transparent que limpide, et s'il est brillant c'est qu'il mange du cirage. Sa principale qualité est de savoir faire des phrases de "densité de non-sens" élevé. Enfin, c'est mon opinion que je partage avec quelques-uns, dont moi.
- racine
- 05-09-2015 01:55:16
shadock a écrit:Pas mal Lui-même !
Yann Moix a écrit:L'impossible n'est pas le contraire du possible. L'impossible, c'est un possible qui est arrivé à incandescence. C'est un possible qui a eu lieu quand même. L'impossible est une tumeur du possible.
Pour moi, c'est limpide et brillant. Je te soupçonne d'être trop jeune et trop sûr de la vérité scientifique pour comprendre. Je te souhaite de pouvoir formuler un jour une idée de la même manière.
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