Un homme ivre est accoudé au comptoir d'un bar, il frappe soudainement le comptoir du poing et s'écrie:
"Qu'on me donne à boire, et à tout le monde ici, parce que quand je bois, tout le monde boit !"
Le garçon s'empresse de servir une tournée générale.
Quelques minutes après, l'ivrogne s'écrie:
"Qu'on me donne encore à boire, et à tout le monde ici, parce que quand je reprends un verre, tout le monde reprend un verre !"
Une deuxième tournée générale est servie.
Peu après, l'ivrogne jette quelques pièces sur le comptoir et dit:
"Et quand je paye, tout le monde paye !"

Blagues pourries matheuses:

Quel est le complexe le plus laid ?
Spoiler : [Afficher le message]  [latex]i^2[/latex]

Quel est le complexe le plus cool ?
Spoiler : [Afficher le message]  [latex]i\pi[/latex]

Et puis pour finir, voici la blague matheuse la plus courte, elle me fait beaucoup rire (lu dans un livre  de I.Stewart)... Bon je me lance : 
[TeX]\text{Soit }\epsilon<0[/TeX]

En tout cas c'est plutôt bien vu , un milieu s'appelle I un centre O un quadrilatère ABCD , une droite (D) , un angle alpha ...

Ca me rappelle un exercice ou le maître demande à un élève de dessiner un carré VERT avec ET=5cm . L'élève demande s'il peut utiliser son crayon bleu pour dessiner le carré vu qu'il a oublié son crayon vert et le maître lui répond : tu peux tant que tu ne l'appelles pas BLEU !!!!

Vasimolo

ksavier a écrit:

[latex]\text{Soit }\epsilon<0[/latex]

J'adore également

Ca me rappelle une blague que j'ai lue récemment dans une signature de forum (j'espère que ce n'est pas ici, je ne la retrouve plus ...)

"Il y a 10 types de personnes sur Terre, ceux qui comprennent le binaire, et les autres !"

En fait ce qui me fait marrer dans ces blagues (et peur, aussi ...), c'est le regard des non matheux qui ne comprennent pas comment nous on peut comprendre ces blagues ... :lol

Les blagues les plus simples sont souvent les meilleures... Celle-ci est plutôt complexe, j'ai réellement du mal à faire travailler ma partie imaginaire pour la comprendre

Pour ouvrir cette nouvelle année, deux blagues: une plutôt dans mon domaine () et l'autre plutôt dans le vôtre les matheux, mais qui reste à ma portée...

Blague 1:
- Docteur, j'ai des trous de mémoire, que dois-je faire ?
- Me payer d'avance, madame !


Blague 2:
Un prof de Math explique les limites à une blonde. Il résout avec elle l'exercice suivant :


A la fin de l'exercice, il demande à la jeune fille si elle a tout compris :
- "Oh oui, monsieur! J'ai tout compris!"
N'y croyant qu'à moitié, il lui pose l'exercice suivant. Déterminer


Et la blonde de répondre :


PS: ...et surtout ne me demandez la bonne réponse !

BONNE ANNEE A TOU(TE)S !

Merci Klim!

J'ajoute une petite devinette:

Mon premier est un mammifère à queue plate qui ne peut pas s'asseoir.
Mon second est un mammifère à queue plate qui ne peut pas s'asseoir.
Mon troisième est un mammifère à queue plate qui ne peut pas s'asseoir.
Mon tout est un rapport dans le cercle.

Qui suis-je ?

Aller, cherchez un peu avant de regarder la réponse...

Réponse : Spoiler : [Afficher le message] PI (3 castors sans chaise) bande de gros dégoutants...

Et pourquoi dit-on trois quatorze cent seize au lieu de trois quatorze cent cinquante neuf?

je n'aime pas énormément les Chevaliers du Fiel, mais ils en ont raconté une sur une radio locale il y a 3 jours, je vous la restitue :

- Tu sais quoi ? une fille a cogné toute la nuit à ma porte, elle a commencé vers 10 h hier soir et tout le temps, ça n'arrêtait pas, elle a cogné à ma porte, au moins jusqu'à 5 heures de matin.

- qu'est-ce qu'elle voulait ?

- sortir !

L'exemple le plus connu de cette façon de dire est "Marignan: Quinze-cent-quinze"
Mais est-ce que c'est encore enseigné??

Lors d’une expérience, un ingénieur, un physicien et un mathématicien sont enfermés chacun dans une pièce, avec une boite d’épinard, mais sans ouvre-boîtes.

Vingt quatre heures plus tard, les portes de chacune des trois pièces s’ouvrent….

Dans la première pièce, l’ingénieur est en train de dormir avec à côté de lui la boite de conserve toute cabossée, mais ouverte et vide. On le réveille et on lui demande comment il a procédé. Il explique:
- Quand j’ai eu faim, j’ai pris la conserve et j’ai tapé sur son point de moindre résistance.

Dans la deuxième pièce, le physicien est lui aussi repu d’épinards. Il explique:
- Quand j’ai eu faim, j’ai observé la boite, posé quelques équations et appliqué une forte pression sur les points idoines, et la boite s’est ouverte.

Dans la troisième pièce, le mathématicien est assis par terre dans un coin, la boite d’épinard à ses pieds et il marmonne en transpirant à grosses gouttes : « Supposons que la boite est ouverte, supposons que la boite est ouverte… »


Bon, je sors et je vous laisse débattre...